Habitudes et traditions originales héritées par les habitants de génération en génération. Aussi, nous traitons ici un sujet inédit, c’est celui de l’histoire et des traditions de la ville de Mostaganem antique, riche de par son patrimoine culturel et social qui constitue un des maillons importants du centre du Maghreb (Algérie) riche en événements liés à la vie de ses habitants à travers les générations. Mostaganem a su préserver plusieurs de ses vestiges hérités par ses habitants depuis la nuit des temps ; les enfants d’Algérie n’en connaissent que très peu à travers l’écoute ou la lecture de quelques ouvrages, notamment ceux écrits lors de la période coloniale qui visaient à détruire les liens familiaux de leur passé intellectuel et son histoire civilisationnelle.
Les fiançailles :
La majeure partie des familles mostaganémoises est issue de familles conservatrices à l’instar des villes algériennes. De ce fait, la majorité des filles mostaganémoises restent dans leurs maisons où elles apprennent des métiers traditionnels comme le textile, la broderie, la couture et la fetla (fil doré avec lequel sont dessinés de belles formes sur les vêtements luxueux « medjboud » et le galon doré (gros fil de soie doublé avec lequel sont brodés les vêtements, etc.) Ces métiers étaient considérés comme un fallacieux prétexte pour connaître la jeune fille. En effet, dans certains foyers, la mariée est issue de la même famille, fille de l’oncle paternel, fille de l’oncle maternel, etc. Aussi, l’endroit adéquat pour connaitre la jeune fille en vue du mariage était le bain maure ou lors de la célébration des fêtes de mariage. C’est ainsi que la mère qui veut demander la main d’une fille pour son fils doit aller au bain maure à plusieurs reprises à l’effet de lui permettre de connaître la fille idéale ; elle questionne les « tayabates » (travailleuses au bain) pour obtenir le maximum d’informations sur la jeune fille et sa famille. Il convient de noter que ces travailleuses assument un rôle important au cours de cette opération de par la connaissance et l’expérience de chaque jeune fille entrant au bain maure, son éducation et sa conduite. Une fois les éléments d’information recueillis par les femmes, la mère envoie une femme âgée d’une compétence avérée connue pour sa retenue, sa logique saine et respectée de tous. Cette dernière se rend au domicile de la jeune fille sur laquelle a été porté le choix et demande sa main a la famille indiquée. La réponse doit être par l’affirmative ou la négative ce qui ne doit pas constituer une susceptibilité pour la famille du fiancé. Parfois, la mère se rend elle-même et évalue la jeune fille sur tous les aspects : beauté, élégance, droiture, éducation, débrouillardise. Dans certaines familles, la mère du marié donne une petite tape a la jeune fille au niveau de la cuisse a l’effet de connaitre la possibilité de la mariée a endurer les difficultés de la vie, etc…
Si la réponse est favorable, la famille se prépare notamment les femmes (la mère, la grand-mère, la tante paternelle, la tante maternelle, les voisines) dans un délai n’excédant pas 15 jours pour demander la main de la jeune fille. Ils traversent leur route dans un endroit public comme le marché pour écouter le « fal » (un bon présage) si le mot est bon, cela signifie que la mariée est de bonne famille et si le mot est mauvais la mariée l’est aussi. Dans certains cas, ils se désistent pour avoir entendu un mauvais présage. A l’arrivée au domicile de la mariée, ils sont accueillis par les parents qui leur offrent du café et des gâteaux. C’est à partir de cette étape que seront conclues les conditions de la dot « sadak » et tout ce qui touche aux effets du mariage. C’est ainsi que la mère de la mariée commence à faire des louanges à sa fille: « vous êtes venus demander la main de notre fille … » et prononce un rituel de bienvenue. Et la condition ou la dot représentée à travers le « krafach » ou collier, les sept bracelets, la bague ainsi que les « tyafer » ou « el djehaz » qui est le trousseau de la mariée et « la amama » (somme d’argent en espèces qui s’appelle « el kamal » (qui sous entend la dot telle que définie par les deux parties). c’est la que se termine la mission des femmes. Suite à cela, les parents des futurs époux se rencontrent d’ordinaire dans un café pour accomplir le reste des formalités à savoir la fixation du jour de la « fatiha » du mariage.
El Mourakana :
Une fois l’accord conclu, les fiançailles ont lieu, il est procédé par les familles du marié à la désignation du jour « d’ el mourakana ». Généralement ce jour coïncide avec le jour de la « fatiha » du mariage (un groupe d’hommes des deux familles avec l’imam). Cette formalité s’appelle « el malak ». Les parents du futur marié emportent avec eux quelques cadeaux, un plateau en cuivre contenant du « makrout » (gâteaux en forme de losange au miel), des madeleines et du « torno ». Au cours de cette cérémonie, une bague en or est déposée sur le plateau, on l’appelle « la bague de la parole ». Cette cérémonie se déroule entre les proches des deux familles. Les deux familles se mettent d’accord sur « le jour du henné » qui a lieu quelques jours avant le mariage et parfois, les deux jours se suivent « hanna et r’foud » (le mariage a lieu deux ou trois jours après la célébration du jour du henné). Le lendemain, les parents du futur époux prennent en charge les dépenses inhérents à la semoule, le mouton et les gâteaux, cela s’appelle « le dfou’e » (fiançailles). De même qu’il est déposé d’autres effets répartis en trois (03) grandes tables rondes appelées « tyafer ». « Le tayfour » est une table ronde munie d’un cadre en bois fin d’une hauteur de 6 cm . Sur l’une de ces tables. Le henné est déposé avec le sucre, le thé et le café sur la deuxieme table, il y a les gâteaux, sur la troisième les vêtements, beaux tissus et les parfums « el djehaz » (le trousseau).
Tout ceci est porté sur les têtes des femmes, des spécialistes en la matière, qui se dirigent vers la maison de la mariée, le soir, ou ils sont reçues par la famille du marié qui leur offre du sucre ainsi que du couscous, du café, des gâteaux et sortent dans la cour où se trouvent toutes les familles réunies autour des « meddahate » (chanteuses) qui entonnent des chants religieux ( troupe composée de cinq (05) femmes qui animent les fêtes en glorifiant le prophète (que la bénédiction et le salut soient sur lui) tout en utilisant des instruments traditionnels comme le bendir, le gallal, la tbila, le chakchak et la derbouka ) pendant que d’autres femmes dansent. Ensuite, une des parentes fait sortir la mariée enveloppée d’un « hayk » dont le visage n’est pas recouvert et les meddahates entonnent des chants religieux et des louanges au prophète (que la bénédiction et le salut soient sur lui).
La mariée s’assoit sur une jatte (en bois) sur laquelle est déposée un oreiller et à ses côtés des petites filles portant des bougies. Il est mis du henné sur les deux mains de la mariée jusqu’aux poignets ainsi qu’au niveau des pieds jusqu’aux chevilles. Enfin, une femme âgée jouissant d’une confiance en pareille circonstance expose aux présents le « sadak » ou offrandes à haute voix qui est ensuite déposé dans un « feniek » (coffret spécial ou sont entreposés les bijoux de la femme mariée lors des fêtes). On commence à regarder ce qui a été offert par les proches de la famille (tel que le père, le frère, l’oncle maternel ou paternel, etc.
La fête se poursuit jusqu’à une heure tardive de la nuit, ensuite, la mère du marié prend un peu d’henné de la mariée et la met dans la main de son fils ; tout ceci accompagné des youyous stridents, de bougies allumées. Ce cérémonial se déroule au domicile du marié après le dîner. A l’issue de cette cérémonie, les familles des deux futurs époux fixent un jour pour contracter l’acte légal des liens sacrés du mariage. Ils se dirigent vers « dar el kadhi », où la mariée doit être vêtue d’un « ha?k » (morceau de tissu en laine de mouton mélangé de soie que doit revêtir la femme comme vêtement en dehors de la maison et qui recouvre l’ensemble du corps). La femme est accompagnée de son tuteur avec un groupe de témoins, le « kadhi » interroge la future mariée en lui demandant son avis sur ce mariage, sa réponse est consentante et affirmative et c’est ainsi que le mariage est contracté.
La cérémonie du mariage :
Un mois avant le mariage, la mère du marié invite un groupe de femmes (proches, voisines, amis, etc.) appelée « moustadanat » a prendre un café avec du « msemmen » (genre de pâtes en forme carré cuits à l’huile et trempées de miel). Les invités sortent pour saluer les familles et les connaissances de la famille du futur marié et dès qu’ils entrent au domicile du futur époux, ils sont arrosés de fleurs d’oranger.
Quant à la mariée, un jour avant son mariage, elle est emmenée au bain maure accompagnée de sa famille et de ses amies jeunes filles célibataires. Dès qu’elle arrive au seuil du bain maure, des youyous fusent de partout et une femme entre avec elle en portant des bougies à la salle de lavage ou (salle chaude) sans ôter ses vêtements; elle doit se déshabiller dans un endroit réservé uniquement aux mariées. Après son retour, une petite fête est réservée aux parents de la mariée autour d’un café avec des gâteaux. Une semaine avant la fête, le marié invite un jeune marié parmi ses amis pour assumer le protocole de l’organisation et l’accueil des invités. C’est un proche du marié qui s’occupe de tous les aspects personnels et des amis proches invités à la fête.
Le Premier jour :
Ce jour s’appelle le « sacrifice du mouton » (cérémonie pour les jeunes organisée par le marié un jour avant la nuit de noces. Les parents du marié préparent un dîner sous forme de « saroudane » (plats de douara, bouzellouf , chorba et salade). Ceci concerne les amis conviés par le futur époux. Cette fête débute après la prière d’ el icha au domicile du marié ou dans une maison de ses amis. ce sont les us et coutumes en vigueur dans la plupart des cas ; ensuite la fête démarre avec des refrains du groupe musical « aissaoua » ou la chanson chaâbi est entonnée par des jeunes. Au cours de cette fête, on sert du thé, du café et des gâteaux variés à l’ensemble des invités.
Deuxième jour :
C’est la journée du dîner et de la nuit de noce ; journée à l’issue de laquelle le marié se rend le matin en compagnie de ses amis au bain maure et avant midi, ils se rencontrent dans un café convenu préalablement où ils se donnent à cœur joie en dansant sur les rythmes musicaux du groupe « aissaoua » jusqu’à l’après midi, moment du démarrage du cortège nuptial à la maison de la mariée au moment même où le père du marié organise le déjeuner en l’honneur des invités, parmi la famille, les amis et notables de la ville. Il s’agit d’une grande jatte de couscous avec de la viande recouverte d’un drap blanc et que doit faire sortir le père de l’époux aux hommes. Le premier service est ouvert au profit des notables de la ville. Après le déjeuner, les mains sont levées pour souhaiter les meilleurs vœux aux futurs époux et à la famille ; ensuite, les invités affluent individuellement ou en groupe pour présenter leurs vœux et sont reçus chaleureusement par les membres de la famille du marié. Après ils rejoignent la grande jatte pour déjeuner a tour de rôle.
Dés son arrivée, le marié entre dans sa chambre pour se raser et porter ses plus beaux habits avec un burnous blanc alors que ses amis se délectent avec la troupe des « aissaoua » dans la cour de la maison ensuite le marié les rejoint. Un jeune marié asperge les invités de parfum et distribue des pièces de monnaie aux enfants après avoir félicité le marié. Celui-ci se rend au domicile du jeune marié pour se reposer. Quant à la mariée, elle se prépare en confectionnant son trousseau, une femme réputée pour son expérience la maquille et l’épile avec une patte (sorte de mixture de citron et de sucre qu’on met sur du feu). Ensuite, elle peigne ses cheveux et saupoudre son visage de poudre blanche et met du « khol » dans ses yeux et ses cils avec le « meroued » (bâton fin en bois) et un « siouak » sur les lèvres ainsi que le fard a joue et enfile sa robe blanche. La mariée arrive au domicile du futur marié dans une calèche les femmes entrent pour consommer du couscous avec du sucre et du raisin sec accompagné le plus souvent avec du petit lait ; emportant un « haik mramma » et un « burnous » pour homme en poil de chameaux » au moment même où la mariée est prête, vêtue d’un « haik » et du « burnous » et porte une corbeille ou caisse en bois où elle met tous ses affaires,son père lui achète un lot de tissu blanc (pour la draper et ensuite elle se voile avec). Le père du marié ou un homme plus âgé de la famille du marié vient pour la prendre de son épaule droite et l’accompagner à la voiture. Dans la tradition Mostaganémoise, c’est le grand frère de la mariée qui l’accompagne jusqu’à la portière de la voiture et elle apporte avec elle les pates au miel « msemna bel assel » en compagnie de sa grand-mère, sa tante maternelle et sa tante paternelle. Quant à sa mère, elle la rejoint durant la nuit. Il est de coutume que la mariée se rend chez le saint « sidi belkacem », elle lui offre la « ziara » (de l’argent) qu’elle remet à la « khdima » (femme responsable du lieu) cette dernière lui remet à son tour le « sendjak » (un bout de tissu vert ou blanc) pour la remercier de sa visite.
Avant le coucher de soleil, elle se rend à la maison du mari et a son arrivèe, elle est accueillie par un groupe de femmes de la famille du mari qui l’entourent en glorifiant le prophète (que la bénédiction et le salut de dieu soient sur lui) et l’accompagnent a sa chambre (ou personne ne la voit). A ce moment, le marié offre un dîner aux invités de sa famille soit dans sa maison ou dans un jardin de l’un de ses amis ou dans une maison près de la plage. Après le dîner, tous les présents se dirigent au café suscité à partir duquel démarre le cortège avec les chants de la troupe « aissaoua » et à coté du mari, il y a deux jeunes : l’un porte deux grandes bougies à sa droite et l’autre deux bouquets de fleurs à sa gauche et cela s’appelle la cérémonie de la « tebyita » (la nuit de noce). Avant son entrée, le marié pose son pied droit sur un œuf non cuit qu’il écrase ensuite, il passe sur « chentouf louiz » (fil doré).
Le Troisième jour :
La mariée sort de sa chambre le matin portant une tenue rose et une fête est organisée par les femmes de la famille et certaines invitées en son honneur pour la féliciter. Elles prennent un café avec de la « msemna » préparée par la mère de la mariée. Ensuite, les « meddahates » commencent l’animation de la fête, accompagnées par les danses rythmées jusqu’à midi. Après le déjeuner qui est préparé par la mère de la mariée (chorba et salade), la célébration de la deuxième cérémonie appelée « el mahdar » débute (à l’origine « el mahdar », c’est la célébration de la fête de mariage par les femmes réservée aux femmes et à la mariée). L’après midi et jusqu’au coucher de soleil, on remarque la chaise de la mariée avec un oreiller blanc et à ses cotés d’autres chaises réservées aux « kheradjate » (car c’est la première fois qu’elles sortent depuis leur mariage) à coté des « barizate » (il s’agit d’un groupe de femmes mariées qui accompagne les « meddahates » et animent la fête par leurs chants.
Après, la mariée sort de sa chambre avec une belle tenue traditionnelle qui est le « ghelili ». Il s’agit d’une tenue de « katifa » cousue avec de la « fetla » avec un « serouel testifa » d’un tissu doré, sur son cou le « zerir » et les chaines. « Isotoir et crafache chentouf louiz » et la chaine « medday », sur sa poitrine « cherkat el djouhar », sur sa tête une chéchia d’origine turque cousue avec de la « katifa » dorée appelée « soltani » , au front « zerir » et sur lui « issaba » ou « issaba soltani » ,à droite et à gauche « bezaim et takhalouf » ainsi qu’un « tedj et rea’eche et tir el mahdjar », sur ses oreilles des boucles « ounais et mekafil » qui est une grande chaine d’or et de perles et le « mendil » appelé « echedda » , dans ses mains « chekkat el messayess » et sept bracelets liés par un fil d’or « s ebai’yate » et un bracelet et dans ses pieds « el brim » et sur son visage un tissu transparent appelé« el abrouk ». Elle est accompagnée par sa belle mère et quelques femmes de la famille qui glorifient le prophète (que la bénédiction et le salut de dieu soient sur lui) et elles sont accueillies par des youyous.
La mariée se lève et se rassoit sur la chaise sept fois et à ses cotés se trouvent «les kheradjates» et les «barizates» qui portent les différentes belles tenues traditionnelles. La fête reprend avec la danse de la femme d’el «ouazir» qui a l’insigne honneur d’ouvrir le bal et on lui offre la «rechka» qu’elle remet à son tour aux « meddahates » et ainsi de suite avec le reste des « khardjates » et « barizates ». Il est de coutume à Mostaganem que la « khardja » représente chaque danse par une tenue différente à l’instar de la mariée ,ensuite vient le tour du reste des femmes après que la mariée ait porte toutes ses tenues traditionnelles.
Après le coucher de soleil, « el mahtar » s’arrête, la famille du marié et certains proches restent pour dîner ; ensuite, ils entrent dans une des chambres pour poursuivre la soirée jusqu’à minuit. L’une des femmes accompagne la mariée jusqu’à sa chambre après lui avoir présenter son beau père et le reste des membres de la famille parmi les hommes. Après une semaine, vient le jour du « tarouih », la mariée se rend au bain maure avec les invitées portant le « ghelili » ou « kaftan » avec la « chedda » et prend avec elle une corbeille avec « el harch » (tout ce qui est nécessaire au bain telle que la « fouta » (la serviette), etc. A leur arrivée au bain maure, la mariée se déshabille et enfile deux « f outas » et prend un seau « salt » (en bronze) et une tasse sous les youyous stridents des femmes. Elle enlève la première « fouta » et y met tous ses bijoux.
Ensuite, vient sa belle mère et la sort du bain, l’une des « tayyabates » lui lave le corps et après elle enfile le « bechkir » (serviette pour sécher le corps). Après, elle porte une de ses tenues avec la « chedda » et elle revient à la maison de son mari (la belle mère se charge des frais du bain) et tout le monde prend un café avec du « sfendj » (pattes avec levures en rondelles vides au milieu qui sont frites dans de l’huile) et la fête reprend avec les « meddahates » et la mariée met entre ses genoux une serviette rose « bechkir » et porte dans ses mains deux bougies que son mari portait. La fête se poursuit jusqu’à la venue de la belle mère avec le diner qu’elle aura préparé dans sa maison pour les invités.
Le jour du « tehzam » (le port de la ceinture) qui est le jour suivant, la mariée porte une tenue traditionnelle (chedda avec kaftan), la belle mère apporte le déjeuner avec du « trid », de la sauce et du poulet (pattes fines comme du papier avec laquelle on prépare plusieurs plats parmi lesquels le « trid » avec de la sauce et du poulet.
-La « khebya » d’une des vieilles familles 1918
- « El frifli »
-« El djouibi »
-« El melahfa et le « hzam »
- « El abrouk » et les « kmayem »
-« El ghelili » cousu par l’un des meilleurs brodeurs a mostaganem 1918.
- « El mendil »
-« El djabadouli »
-« El kaftan”
- « Serouel karakou »
-« La kmedja »
-Collier “sotoir”
Lles “raa’ech
-« Echekka – les messayess – crafache- bracelet »
- « El brim – el mahdjar – ceinture doree”
- « Chentouf louizz »
-« Chaine “medday »
-« Issabat soltani »
-« Takhalouf – bezaim »
- Chechia – mekafil et ounais (boucles d’oreilles)
-« Cherkat el djouhar
-« Issaba et zerir «
-La corbeille du bain couverte a l’interieur par des vetements luxueux
« Tasl » et tasse pour le bain.
- « Khebaya et mansoudj »
Vêtement traditionnel de la mariee mostaganemoise.
« Chedda mostaganemoise »
« Kaftan mostaganemoise »
Tenue traditionnelle de la « kherradja » mostaganemoise lors des fetes.